mardi 8 septembre 2009

Yannick Favennec est favorable à l'ouverture politique


Le député du Nord-Mayenne, lors de son discours de rentrée à la Baroche-Gondouin, a salué la démarche d'ouverture du président de la République.
Comme le disait le philosophe Spinoza, "si deux hommes s’accordent et mettent leurs forces en commun, ils ont ensemble plus de puissance et par conséquent plus d’efficacité que chacun pris séparément."
Pour Yannick Favennec, "Nicolas Sarkozy est certainement le premier à l’avoir compris en pratiquant tout simplement ce que l’on appelle L’ouverture. Ce n'est pas demander aux autres de renoncer à leurs convictions et à leurs valeurs, a t-il souligné. L’ouverture ce n’est pas non plus faire des alliances de circonstances en dehors de tout projet commun. L’ouverture, c’est l’union dans le respect de la diversité de chacun. Et l’ouverture, c’est surtout et avant tout, le rassemblement, parce que nous avons besoin d’être rassemblés face à la crise.
Moi, historiquement centriste de cœur, issu de l’UDF, j’ai compris tout l’intérêt qu’il y avait à travailler avec aujourd’hui la Gauche moderne de Jean-Marie Bockel, les Progressistes d’Eric Besson, les Républicains sociaux de Christine Boutin, les Gaullistes, les Libéraux, les Villepinistes, et demain, les Villiéristes, les Chasseurs, et bien d’autres encore, je le souhaite.
Se retrouver autour de la même table pour débattre avec ceux qui ont une culture sociale forte, une culture gaullienne forte, une culture libérale forte, une culture souverainiste forte, n’a rien de choquant."
Le député du Nord-Mayenne a terminé son passage sur l'ouverture en citant Daniel Cohn-Bendit : "pour faire une majorité, il faut aller chercher les gens là où ils sont, et non pas là où vous êtes".